Auteur : Michel Galvin
Editeur : Sarbacane
14.90 €
Résumé :
Que dire à propos de Fin de chaîne, à part « enfin » ?
Un groupe de volatiles indéterminés, (mais non volants et non comestibles), errant dans une étendue sauvage et désertique, se trouve confronté aux massacres de plus en plus fréquents et atroces de ses membres.
Comment vont-ils réagir face à cette menace, et échapper à l’empalement sur pic rocheux acéré, écrabouillage sous avalanche de pierres, et autres écartèlements ignobles ?
Le refus d’admettre la réalité, les réflexions sur la mort, l’apparition d’un leader au sein du groupe, l’égoïsme, la religion, tous ces thèmes sont abordés de manière férocement drôle, et on ne peut finalement s’empêcher de comparer ce troupeau de piafs décervelés à un autre genre de créatures…
Le graphisme très original, entre collage et dessin, illustre à merveille, par sa simplicité et son côté très épuré, le néant géographique et intellectuel dans lesquels se trouvent ces bestioles.
Bref, toute une savoureuse réflexion sur l’abrutissement collectif… A bon entendeur…
Indispensable dans la catégorie « cynisme social ».
Marie
Un groupe de volatiles indéterminés, (mais non volants et non comestibles), errant dans une étendue sauvage et désertique, se trouve confronté aux massacres de plus en plus fréquents et atroces de ses membres.
Comment vont-ils réagir face à cette menace, et échapper à l’empalement sur pic rocheux acéré, écrabouillage sous avalanche de pierres, et autres écartèlements ignobles ?
Le refus d’admettre la réalité, les réflexions sur la mort, l’apparition d’un leader au sein du groupe, l’égoïsme, la religion, tous ces thèmes sont abordés de manière férocement drôle, et on ne peut finalement s’empêcher de comparer ce troupeau de piafs décervelés à un autre genre de créatures…
Le graphisme très original, entre collage et dessin, illustre à merveille, par sa simplicité et son côté très épuré, le néant géographique et intellectuel dans lesquels se trouvent ces bestioles.
Bref, toute une savoureuse réflexion sur l’abrutissement collectif… A bon entendeur…
Indispensable dans la catégorie « cynisme social ».
Marie