Auteur : Séverine Gauthier, Thomas Labourot
Editeur : Delcourt
Résumé :
Cet été, Laurine est heureuse. Elle peut enfin passer ses journées auprès de son meilleur ami, le chêne centenaire qui vit près de sa maison. Au cours de leurs retrouvailles, ce dernier lui demande un service, celui de prendre soin de ses jeunes pousses. Dès le lendemain, Laurine s'attelle à la tâche. Elle ne remarque pas la croix rouge que porte son ami, la même marque qui était inscrite sur les autres arbres du bosquet avant qu'ils ne disparaissent...
Mon arbre aurait pu être une simple histoire gentillette. Celle d’une fillette de 10 ans, Laurine, et d’un grand chêne pour lequel elle s’est prise d’affection.
De bons sentiments, de jolis dessins, de quoi donner à un gamin de 6 ans mille et une occasions d’agrémenter ses rêves de joie et de douceur. Si un adulte découvre par hasard ce mignon petit ouvrage, édité dans la collection jeunesse chez Delcourt, il imagine peut-être le livre idéal pour accompagner le rituel du coucher de son enfant. Il est pourtant loin de se douter que, lui aussi, tombera certainement sous le charme. Dès les premières pages, Séverine Gauthier plonge son lecteur dans un monde à la fois magique et rassurant, celui d’une enfance dorée et insouciante, peuplée d’êtres imaginaires et d’amis extraordinaires. L’innocence dégagée par Laurine n’atteint jamais la mièvrerie, elle apporte au contraire, par sa sincérité, une émotion terriblement communicative. Car au-delà d’un aspect écologique, marqué symboliquement par le rapprochement entre l’homme et la nature, c’est aussi l’histoire d’un drame que l’auteure aborde, celui de la perte d’un être cher. Et même si cet être n’est rien d’autre qu’un vieux chêne, sa disparition marquera la fillette pour toute sa vie. (BD Guest)
De bons sentiments, de jolis dessins, de quoi donner à un gamin de 6 ans mille et une occasions d’agrémenter ses rêves de joie et de douceur. Si un adulte découvre par hasard ce mignon petit ouvrage, édité dans la collection jeunesse chez Delcourt, il imagine peut-être le livre idéal pour accompagner le rituel du coucher de son enfant. Il est pourtant loin de se douter que, lui aussi, tombera certainement sous le charme. Dès les premières pages, Séverine Gauthier plonge son lecteur dans un monde à la fois magique et rassurant, celui d’une enfance dorée et insouciante, peuplée d’êtres imaginaires et d’amis extraordinaires. L’innocence dégagée par Laurine n’atteint jamais la mièvrerie, elle apporte au contraire, par sa sincérité, une émotion terriblement communicative. Car au-delà d’un aspect écologique, marqué symboliquement par le rapprochement entre l’homme et la nature, c’est aussi l’histoire d’un drame que l’auteure aborde, celui de la perte d’un être cher. Et même si cet être n’est rien d’autre qu’un vieux chêne, sa disparition marquera la fillette pour toute sa vie. (BD Guest)
Comprendre n’est sûrement pas le plus important.
Mon arbre fait partie de ces rares ouvrages à avoir trouvé l’alchimie parfaite entre le dessin, remarquable de Thomas Labourot, et le scénario, à la fois tendre et mélancolique de Séverine Gauthier.
Il efface également toutes les frontières, si tenaces, qui existent habituellement entre les catégories « jeunesse » et « adulte ». Tout simplement magique.
Mon arbre fait partie de ces rares ouvrages à avoir trouvé l’alchimie parfaite entre le dessin, remarquable de Thomas Labourot, et le scénario, à la fois tendre et mélancolique de Séverine Gauthier.
Il efface également toutes les frontières, si tenaces, qui existent habituellement entre les catégories « jeunesse » et « adulte ». Tout simplement magique.
Fabienne de Longpont sur Orge
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