Auteur : Nicolas Journoud
Editeur : 6 pieds sous terre
ISBN : 978-2-35212-048-3 – Septembre 2009
Prix : 16 €
Public : Adolescents / Adultes
Prix : 16 €
Public : Adolescents / Adultes
Résumé :
Le Kazakhstan, ça vous dit quelque chose ?
Pas vraiment, non ?
Pourtant quand Nicolas et Thida ont eu l’opportunité d’aller vivre là-bas un an, ils n’ont pas hésité une seconde. Depuis le temps qu’ils attendaient de s’expatrier, peu importait le pays. Et puis le Kazakhstan, en cherchant bien, c’est quand même la Route de la Soie, l’ex-URSS et l’Asie centrale mystérieuse.
Sur place le dépaysement fut évidemment au rendez-vous : le pays, la langue, la culture et les gens, tout était à découvrir… et une nouvelle vie a commencé pour le jeune couple, simple et heureuse, enfin débarrassée des habitudes et des soucis français.
Mais bientôt les changements que le Kazakhstan apporte à leur quotidien et à leur relation vont prendre une forme de plus en plus inattendue et finir par révéler les vraies raisons de leur départ.
A mi-chemin entre carnet de voyage et journal intime Ex-patria explore le petit monde des expatriés et les petits tourments de la trentaine.
Analyse :
Avec enthousiasme, humour et regard acéré propres aux premières découvertes de pays restant dans l’esprit de Monsieur Tout-le-monde, le jeune auteur partage avec nous les premières impressions qui l’ont assailli lorsqu’il a dû plonger dans les bains culturels, linguistiques, climatiques et autres... kazakhs.
A coups d’anecdotes croustillantes sur sa vie quotidienne à l’autre bout du monde, de parallèles entre sa provenance et sa destination d’expatrié, de références en tous genres au pays dévoilé et aussi, pour l’occasion, de clins d’œil à la BD franco-belge, Nicolas Journoud nous fait aimer le Kazakhstan comme il le vit. Et il nous fait rire ! Il faut dire qu’il brandit à dessein le fameux "effet Kazakhstan", élément idéal pour s’amuser de ou expliquer bien des choses.
Et c’est là où Ex-Patria se distingue des récits de voyages comme ceux auxquels référence est faite au début de cette chronique. Grâce à cet "effet Kazakhstan". Parce que plus que nous faire découvrir une région fort méconnue et nous faire rire des petits déboires du Français qu’il est à Almaty, Nicolas Journoud finit par orienter son témoignage sur une histoire plus intimiste qu’il n’y paraît, transformant son ouvrage pédago-humoristique en une très touchante et très troublante réflexion... à laquelle vous serez assurément sensible. La BD Ex-Patria gagne ainsi une dimension plus grande que celle avec laquelle elle faisait mine de se présenter aux lecteurs : elle cachait un secret qu’on découvre au fil des pages et qui fait qu'on se prend alors à espérer une suite à cette excellente découverte !
Pas vraiment, non ?
Pourtant quand Nicolas et Thida ont eu l’opportunité d’aller vivre là-bas un an, ils n’ont pas hésité une seconde. Depuis le temps qu’ils attendaient de s’expatrier, peu importait le pays. Et puis le Kazakhstan, en cherchant bien, c’est quand même la Route de la Soie, l’ex-URSS et l’Asie centrale mystérieuse.
Sur place le dépaysement fut évidemment au rendez-vous : le pays, la langue, la culture et les gens, tout était à découvrir… et une nouvelle vie a commencé pour le jeune couple, simple et heureuse, enfin débarrassée des habitudes et des soucis français.
Mais bientôt les changements que le Kazakhstan apporte à leur quotidien et à leur relation vont prendre une forme de plus en plus inattendue et finir par révéler les vraies raisons de leur départ.
A mi-chemin entre carnet de voyage et journal intime Ex-patria explore le petit monde des expatriés et les petits tourments de la trentaine.
Analyse :
Avec enthousiasme, humour et regard acéré propres aux premières découvertes de pays restant dans l’esprit de Monsieur Tout-le-monde, le jeune auteur partage avec nous les premières impressions qui l’ont assailli lorsqu’il a dû plonger dans les bains culturels, linguistiques, climatiques et autres... kazakhs.
A coups d’anecdotes croustillantes sur sa vie quotidienne à l’autre bout du monde, de parallèles entre sa provenance et sa destination d’expatrié, de références en tous genres au pays dévoilé et aussi, pour l’occasion, de clins d’œil à la BD franco-belge, Nicolas Journoud nous fait aimer le Kazakhstan comme il le vit. Et il nous fait rire ! Il faut dire qu’il brandit à dessein le fameux "effet Kazakhstan", élément idéal pour s’amuser de ou expliquer bien des choses.
Et c’est là où Ex-Patria se distingue des récits de voyages comme ceux auxquels référence est faite au début de cette chronique. Grâce à cet "effet Kazakhstan". Parce que plus que nous faire découvrir une région fort méconnue et nous faire rire des petits déboires du Français qu’il est à Almaty, Nicolas Journoud finit par orienter son témoignage sur une histoire plus intimiste qu’il n’y paraît, transformant son ouvrage pédago-humoristique en une très touchante et très troublante réflexion... à laquelle vous serez assurément sensible. La BD Ex-Patria gagne ainsi une dimension plus grande que celle avec laquelle elle faisait mine de se présenter aux lecteurs : elle cachait un secret qu’on découvre au fil des pages et qui fait qu'on se prend alors à espérer une suite à cette excellente découverte !
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