Les années 1870-1876
La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane
La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane
Dessin : Matthieu Blanchin
Scénario : Christian Perrissin
Editeur : Futuropolis
Scénario : Christian Perrissin
Editeur : Futuropolis
Age : ados/adultes
Résumé :
Certains noms ont fait la légende du Grand Ouest américain. Parmi ceux de Davy Crockett, Buffalo Bill, ou Billy the Kid, il y a une femme : Calamity Jane.
C’est à celle-ci que se consacrent le dessinateur Matthieu Blanchin et le scénariste Christian Perrissin dans une reconstitution de ce que fut la vie de Martha Jane Cannary. Mais peut-on vraiment parler de vérité ?
Si l’on peut se fier aux travaux des historiens Doris Falker et Dee Brown, ce sont plutôt les Lettres que Jane a écrites à sa fille qui sont mises en doute.
Fille d’agriculteurs pauvres du Missouri, Martha Jane dut rapidement s’occuper de ses cinq frères et sœurs ; tentant leur chance vers l’Ouest, sa mère meurt pendant la grande traversée et son père la suit un an plus tard, une fois établi dans l’Utah, non loin de Salt Lake City.
Mais la jeune fille (poussée par une demande en mariage) abandonne vite sa fratrie pour s’aventurer sur les routes, cheveux coupés et vêtements d’homme enfilés.
Liberté ? La vie de Martha Jane Cannary n’en est pas moins difficile et derrière l’humour qui pointe parfois dans les dialogues, le trait gras en noir et blanc de Blanchin souligne bien la profonde solitude de cette femme atypique au milieu d’une civilisation et d’une société en pleine construction. Et ce n’est que seule en selle qu’elle prend finalement ses seuls plaisirs.
Une très belle aventure, entre un contexte historique documenté et une destinée devenue légendaire…
Céline, Savigny/Orge.
C’est à celle-ci que se consacrent le dessinateur Matthieu Blanchin et le scénariste Christian Perrissin dans une reconstitution de ce que fut la vie de Martha Jane Cannary. Mais peut-on vraiment parler de vérité ?
Si l’on peut se fier aux travaux des historiens Doris Falker et Dee Brown, ce sont plutôt les Lettres que Jane a écrites à sa fille qui sont mises en doute.
Fille d’agriculteurs pauvres du Missouri, Martha Jane dut rapidement s’occuper de ses cinq frères et sœurs ; tentant leur chance vers l’Ouest, sa mère meurt pendant la grande traversée et son père la suit un an plus tard, une fois établi dans l’Utah, non loin de Salt Lake City.
Mais la jeune fille (poussée par une demande en mariage) abandonne vite sa fratrie pour s’aventurer sur les routes, cheveux coupés et vêtements d’homme enfilés.
Liberté ? La vie de Martha Jane Cannary n’en est pas moins difficile et derrière l’humour qui pointe parfois dans les dialogues, le trait gras en noir et blanc de Blanchin souligne bien la profonde solitude de cette femme atypique au milieu d’une civilisation et d’une société en pleine construction. Et ce n’est que seule en selle qu’elle prend finalement ses seuls plaisirs.
Une très belle aventure, entre un contexte historique documenté et une destinée devenue légendaire…
Céline, Savigny/Orge.
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