Résumé
Louis, tueur à gages froid et imperturbable, crache le sang et n’en a plus pour longtemps à vivre. Mais avant de mourir, il veut régler ses comptes et retrouver sa fille, qu’il n’a pas vu depuis de nombreuses années. S’ensuit alors la dérive meurtrière d’un homme à bout de forces, qui se shoote à la morphine pour aller jusqu’au bout.
Analyse
Violent et poignant. On a de la sympathie pour ce tueur qui a, lui aussi, sa part d’humanité par sa souffrance physique et sa souffrance morale face au sort de sa fille.
Paringaux rend ici hommage au polar des années 50, un univers magnifiquement rendu par le trait épuré et ici nerveux de Loustal, ainsi que par ses grands aplats de couleurs qui restituent bien l’atmosphère glauque et sauvage de cette histoire.
La mise en page avec de grandes cases en bandeaux alterne avec des planches entières qui ressemblent à des tableaux, surtout lorsqu’il utilise le sépia pour évoquer les souvenirs du tueur.
A noter que les deux compères n’avaient plus collaboré depuis 9 ans. Et on n’est franchement pas déçu, loin de là !
A avoir absolument .
Anne-Claire - Bibliothèque de Villebon sur Yvette.
Louis, tueur à gages froid et imperturbable, crache le sang et n’en a plus pour longtemps à vivre. Mais avant de mourir, il veut régler ses comptes et retrouver sa fille, qu’il n’a pas vu depuis de nombreuses années. S’ensuit alors la dérive meurtrière d’un homme à bout de forces, qui se shoote à la morphine pour aller jusqu’au bout.
Analyse
Violent et poignant. On a de la sympathie pour ce tueur qui a, lui aussi, sa part d’humanité par sa souffrance physique et sa souffrance morale face au sort de sa fille.
Paringaux rend ici hommage au polar des années 50, un univers magnifiquement rendu par le trait épuré et ici nerveux de Loustal, ainsi que par ses grands aplats de couleurs qui restituent bien l’atmosphère glauque et sauvage de cette histoire.
La mise en page avec de grandes cases en bandeaux alterne avec des planches entières qui ressemblent à des tableaux, surtout lorsqu’il utilise le sépia pour évoquer les souvenirs du tueur.
A noter que les deux compères n’avaient plus collaboré depuis 9 ans. Et on n’est franchement pas déçu, loin de là !
A avoir absolument .
Anne-Claire - Bibliothèque de Villebon sur Yvette.
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